j'ai aimé cellulaire:
Du pur Stephen King, un livre apocalyptique.
La quasi totalité de la population mondiale se transforme en zombie après avoir reçut une « impulsion » au travers de leurs téléphones portables « Cellulaires » .
On se souviendra de ce 1er octobre.
Seul une poignée de personnes restent normales.
Tandis que les « phonistes » s’entretuent dans un premier temps, puis développent des liens télépathiques, se regroupent en « troupeaux » à la nuit tombée dans de vaste espace découvert en tombant dans une sorte de catalepsie, serrés les uns contre les autres, tout en écoutant de la musique sirupeuse. Le jour venu, ils passent la journée à chercher de la nourriture.
Tandis qu’une bande de chanceux fait route route vers le Maine en passant par le New Hampshire. En chemin ils croisent le professeur Charles Ardai, responsable du département d’anglais de la Gaiten Academy ainsi que Jordan le dernière élève survivant. Ils les invitent à participer au massacre du troupeau le plus proche situé dans le stade de l’académie.
Mais les « phonistes » lisent dans leurs esprits comme dans des livres et la « bande de Gaiten », poussée à gagner le nord de la Nouvelle-Angleterre, risque de payer cher cet acte de résistance…et avec des sacrifices.
Palpitant du début à la fin, c’est du grand Stephen King. Avec des lenteurs voulues, une des spécialités de Stephen King, l’histoire se déroule sans anicroche.
A la fin du livre, il est écrit :
« Stephen King vit dans le Maine avec sa femme, la romancière Tabitha King. Il ne possède pas de téléphone portable. »